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Une organisation pour durer est une organisation équilibrée

S’il ne fait aucun doute que la première condition pour durer est l’existence de bénéficiaires, demandeurs des produits ou services proposés par l’organisation, la capacité de l’organisation à s’adapter avec souplesse à un monde compétitif et changeant est essentielle.

Cela a toujours été le cas. Mais aujourd’hui, dans notre économie occidentale, les alternatives offertes aux clients mais aussi aux investisseurs, aux employés et d’une manière générale à toutes les parties prenantes de l’organisation sont en accroissement constant et bousculent votre quotidien. Ainsi par exemple en 2021, la grande démission[i] aux États-Unis ou l’augmentation de 17 % des démissions des salariés belges en 2021[ii] par rapport à la période avant covid en sont des signes concrets et coûteux pour les entreprises.

Les variations de l’environnement social et économique sont telles que la capacité d’adaptation doit être une caractéristique de l’organisation. Pour autant, cela ne doit pas se traduire par des bouleversements permanents, par une organisation instable ou encore moins par une absence  d’organisation.

Bien au contraire, la capacité d’adaptation est liée à une organisation stable, c’est-à-dire équilibrée.

La capacité d’adaptation d’une organisation est intimement liée à celle de garder son équilibre dans un monde qui change autour d’elle.

Mais qu’est-ce que l’équilibre d’une organisation ?

Selon le degré de détails avec lequel on les regarde, les organisations sont toutes différentes. On retrouve dans chaque organisation de nombreux éléments dont l’activité, les processus opérationnels et stratégiques, les compétences et le savoir-faire, la culture et l’histoire, la structure, les rapports de pouvoir, la raison d’être, et chaque membre dans ce qu’il est et fait. Les organisations sont des « gestalt » : le résultat global n’est la somme des éléments mais quelque chose de particulier qui lui est propre.

Cela dit, et c’est là tout l’intérêt du schéma d’équilibre relationnel, SEOrg, on peut représenter de façon simple et percutante les relations entre ces éléments pour chaque organisation. Cela nous permet de décrire l’équilibre d’une manière universelle.

Une organisation qui dure, est équilibrée

  • d’un côté entre la part collective et la part individuelle et
  • de l’autre côté entre la part d’être et la part de faire.

Les managers pratiquent plus ou moins bien ces équilibres mais généralement d’une manière intuitive sans représentation, ni réflexion, ne bénéficiant pas de cet outil qui simplifie la compréhension de la complexité des interactions. C’est ainsi que nous observons, essentiellement depuis le début de ce siècle une tendance dangereuse de déséquilibre vers la part individuelle et la part de faire aux dépens du collectif et de la part d’être, tant individuelle que collective.  Il ne s'agit pas simplement de mettre en place des compensations tels des corrections de processus, des activités de team building ou des formations à la résilience ou au leadership. Les quatre aspects sont intimement liés entre eux et aux trois critères.  Modifier l'un, modifie les trois autres.

Pour diriger une organisation capable de s'adapter aux changements pour réussir durablement, vous êtes sur la bonne route.

 [i] https://www.lesechos.fr/monde/etats-unis/etats-unis-45-millions-damericains-ont-demissionne-en-novembre-un-record-1376627

[ii] https://peoplesphere.be/fr/pic-nombre-de-ruptures-de-contrat-de-travail-a-linitiative-employes-effet-direct-penuries-de-main-doeuvre/

 

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